Yves Rocher teste Video Experiment sur YouTube

Youtube est le deuxième moteur de recherche le plus utilisé en France et représente une véritable opportunité pour les marques qui souhaitent développer leur business.

Pour accroître sa visibilité sur la plateforme, la marque familiale de Cosmétique Végétale® Yves Rocher (Groupe Rocher) a enrichi sa chaîne de plusieurs vidéos et s’interroge sur l’efficacité de ces différentes vidéos auprès de son audience, dans l’objectif d’orienter sa future stratégie de création de contenu audiovisuel sur YouTube.

Depuis l’été 2019, YouTube propose une fonctionnalité d’A/B-testing, Video Experiment (aujourd’hui encore en beta), qui permet d’évaluer l’efficacité publicitaire des vidéos d’une marque en les mettant en concurrence sur des audiences semblables mais scindées (un internaute ne peut donc pas être exposé à deux vidéos différentes de la même marque). Cette fonctionnalité permet d’identifier les vidéos qui fonctionnent le mieux en termes de trafic et de vues sur la chaîne YouTube de la marque.

Video Experiment : une nouvelle méthode de diffusion

Keyade accompagne Yves Rocher dans la mise en place de tests avec Video Experiment et met en concurrence trois vidéos médiatisées en TrueView pre-roll (c’est-à-dire diffusées en amont des vidéos consultées par les internautes sur YouTube) :

  • Vidéo 1 : ‘Moi, aux naturels’ montrant des tutos de routine beauté naturelle
  • Vidéo 2 : ‘Débat masqué’ exposant deux femmes qui débattent autour d’un produit Yves Rocher
  • Vidéo 3 : ‘Un Challenge, un make-up’ dans laquelle une femme se fait maquiller

Pour déterminer la vidéo qui suscite le plus d’intérêt auprès de la cible Yves Rocher, Sylvine Huynh, consultante chez Keyade, a observé trois indicateurs : le taux de complétion, le trafic vers la chaîne YouTube et les vues.

Camille Deveaux, Responsable de référencement web chez Yves Rocher commente : « Nous sommes satisfaits du test mis en place avec Video Experiment. C’est une fonctionnalité fiable, qui assure les mêmes volumes d’impressions sur des audiences entièrement distinctes, un dispositif qui n’existait pas auparavant sur YouTube. Bien sûr, ce test concerne uniquement le potentiel d’efficacité publicitaire – l’une de nos vidéos présentait un taux de clic supérieur de 24% aux moyennes fournies par Google ! – mais les apprentissages que nous en tirons permettent d’apporter un éclairage média à nos choix stratégiques de création audiovisuelle. »